Ma dernière rencontre avec Papa
Avant de vous raconter cette anecdote je voudrais m'expliquer. Tous ce qui sera apporté dans ce récit a été réellement vécu, je ne cherche pas à me faire croire ni à me justifier.
Je voulais simplement apporter à l'écrit ma rencontre avec mon père décédé quelques jours plus tôt. Lire cette anecdote.
Nous étions réunis toute la famille, y comprit Camus qui était père des jumelles Michal Et Rébecca âgées de six mois, pour les sept jours de deuil de papa qui nous avait quitté le 15 octobre 1964 à l'âge de 53 ans, très jeune à son décès, pour faire une comparaison, moi-même je suis dans ma 63ème année et je me crois jeune encore.
Après une longue maladie papa avait rendu l'âme à D ieu, ce matin du 15 octobre, il fut enseveli le même jour.
Le vendredi 16 octobre (merci au net et au calendrier perpéuel) nous venions de finir le Kiddoush du Shabbat et après avoir bu le vin béni, je vais à la cuisine qui était éclairée d'une bougie pour ne pas être dans l'obscurité, étant donné que nous ne voulions pas laissé toute la maison éclairée. J'arrive au robinet pour me laver les mains et voilà que Camus me montre sur l'un des murs de a cuisine, une silhouette, un visage avec un béret sur la tète qui ressemblait énormément à mon père.
J'appelle maman et mes frères pour savoir si je rêve ? Ou bien il faudrait l'admettre que c'était de la réalité.
Comme cette image était encore sur le mur nous avons décidé d'appeler Gisèle l'épouse de Camus habitant un immeuble à coté.
Ce qui était encore plus mystérieux que cette silhouette avait disparu une fois que Gisèle était venue.
Je veux expliquer que Gisèle et mon père avait un grand respect l'un envers l'autre et une grande amitié. C'était elle qui était après lui et a joué à cache-cache pour l'empêcher de fumer. De son coté lui en plus de ses cigarettes d'asthmatiques, il avait un deuxième paquet de sèches acheté par un enfant du quartier sollicité par papa. Papa avait toujours deux cigarettes allumées la première pour l'asthme et la seconde toujours bien cachée et c'était Gisèle qui s'apercevait de ces trucs.
Ce n'est que cette semaine que j'avais enfin compris pourquoi papa nous avait rendu visite ce même vendredi.
Il était dans notre coutume de nous faire bénir par papa à tour de rôle. Il posait ses deux mains sur notre tète en disant une prière pour chacun d'entre nous et je pense qu'il avait attendu que Gisèle vienne pour lui donner sa bénédiction à elle aussi.
Depuis je n'ai plus vu Papa, mais par contre à la maison ou nous habitons de nos jours j'ai toujours senti une présence bien qu'il n'y avait personne. Ce n'était que quelques années plus tard que j'ai compris que papa était toujours la pour nous servir d'ange gardien et pour voir les faits sur les quels je me base lire mon récit sur la voyante écrit en novembre 2008.
Voilà je viens de donner jour à ce qui était en moi, je vous invite à donner votre avis et de juger cette anecdote.Glossairre : Kiddouch
Une coupe de Kiddouch sur la table de Chabbat.Dans le judaïsme, le kiddouch (ou qiddouch) (Héb. : קידוש, litt. « sanctification », c'est-à-dire séparation, transcendance) est une bénédiction prononcée sur une coupe de vin cacher ou de jus de raisin cacher lors du chabbat ou d'un jour de fête.
Source: Wikepedia